 |
Les Loisirs de captivité d'un soldat
français prisonnier de guerre à Ansbach, Bavière |
 | |
|
|
|
|
|
Extrait nord du département de
l'Aisne, canton de Vervins
|
|
Carte éditée par la librairie
Abel Pilon et Cie, A. Le Vasseur Gendre et
Successeur, rue de Fleurus, 33 Paris (milieu du
XIXème siècle). ( Fonds A.D.F. Bertram
© ) |
|
Détail nord-est du
département de l'Aisne, village de
Voulpaix
Voulpaix - Latitude: 49°50'24" N Longitude
3°49'53" E
|
|
Extrait par agrandissement de
la carte précédente. ( Fonds A.D.F.
Bertram -© )
|
|
Carte d'état-major de la région de Châlons sur
Marne
|
|
Extrait de la carte
d'Etat-major au 1/320 000 ème publiée par le Dépôt
de la Guerre en 1856 où l'on voit la densité du
réseau ferré dans la région de Mormelon, Saint
Hilaire et Châlons. Mourmelon le Petit situé à
l'ouest de Mourmelon le Grand ne figure pas sur la
carte. ( Fonds A.D.F. Bertram
- © ) |
|
Les pages
2/137 et 3/137 du carnet de Clovis
Hardy
|
|
En quelque sorte, les deux
pages de garde du récit. ( Fonds A.D.F.
Bertram
© ) |
|
Région de Forbach,
Stiring-Wendel, Spiecheren
|
|
Extrait de la carte
d'Etat-major au 1/125 000 ème publiée par le Dépôt
de la Guerre en ? révisée en
1901. Cett carte, très détaillée et trouvée
sur une brocante illustre le récit de Clovis
même s'il manque de détails. En
rouge, tentative de tracé du parcours
(incomplet pour l'instant) tel que mentionné dans
le récit. ( Fonds A.D.F. Bertram
- © ) |
|
Trajet en chemin de
fer, campagne et retraite à
Metz
|
|
Pages 86 et 87: Départ de
Mourmelon le Petit le 18 juillet 1870 et arrivée à
Metz le 14 août. ( Fonds A.D.F. Bertram
- © ) |
|
De Metz à
Ansbach
|
|
Pages 88 et 89: de l'enferment
à Metz du 15 août 1870 à la captivité à
Ansbach le 8 octobre. ( Fonds A.D.F.
Bertram
- © ) |
|
D'Ansbach à
Besançon
|
|
Départ d'Ansbach le 21 avril
1871 et arrêt prolongé jusqu'au 6 juin à
Würtzburg. Arrivée à Besançon le 8 juin
1871. ( Fonds A.D.F. Bertram
- © ) |
|
Drapeau du 63ème de
ligne
|
|
Avec l'aimable autorisation
d'Arnaud BUNEL ©
(>Sitographie > LA
VEXILLOLOGIE MILITAIRE EUROPEENNE) qui
apporte son commentaire: " Jusqu'en 1854, les
régiments sont ceux issus de la Monarchie de
Juillet et de la 2ème République. Puis en 1854,
les 25 régiments d'infanterie légère sont
transformés en régiments de ligne et ajoutés à la
suite de ces derniers, portant ainsi leur nombre à
tout juste 100 régiments
". |
|
Locomotive Crampton 80
(1840)
|
|
France Paris Champs Elysées
Expo Train capitale 2003 - Auteur Patrick
GIRAUD - (documentation libre
GNU). |
|
Charles Auguste FROSSARD
(1807-1875)
|
|
Charles Auguste FROSSARD
, Général de division, Commandant le 2ème
Corps d'armée le 6 août 1870 à Spicheren
.(documentation libre GNU). Le 2ème Corps d'armée
était composé de 36 bataillons, 16 escadrons, 15
batteries de 72 canons et de 18 mitrailleuses avec
un effectif théorique de 35 000 hommes mais qui
n'en comptait que 26 000 réels (source: sitograhie - LES FORCES
FRANÇAISES ET
ALLEMANDES) |
Le ressentiment d'avoir été
dupé transparaît dans tous les tableaux de la fin du
XIXème siècle. Bien sûr, l'héroïsme et la bravoure, du
côté français comme du côté prussien sont toujours mis
en valeur. Il n'en demeure pas moins que ces tableaux
sont pratiquement les seuls témoignages de la
guerre, la photographie n'en était qu'à ses premiers
balbutiements. Le reportage photographique n'existait
pas et la photographie n'était pas non plus
accessible au commun. En revanche, les "grands" du monde
posaient volontiers devant l'objectif comme en
témoignent les nombreux portraits en pied, en tenue
d'apparat et parfois en famille, qu'ont laissé les
belligérants, état-major compris.
|
La Ligne de Feu - Bataille de
Mars la Tour - 16 août 1870
|
| Des corps sans vie gisent
aux pieds du tireur isolé, le Chassepot chargé et prêt à
tirer. Il couvre ses camarades dont l'un se
tient la tête, blessé sans doute ou s'abandonnant
au désespoir, tandis que le clairon, le
regard vide, est absent, agard.
D'autres soldats, déterminés et debouts,
lachent des salves et restent groupés. L'un
d'eux est allongé, mortellement blessé. Il offre
son corps comme ultime rempart à l'un de
ses camarades qui vient de tirer. La charrue
abandonnée rappelle que ces hommes ont été
arrachés à leurs occupations de paysans et qu'ils
défendent la terre de France qui leur
appartient. Je considère cette oeuvre comme la
plus représentative des combats en raison de la
charge émotionnelle qui s'en dégage. (Oeuvre
de Pierre-Georges JEANNIOT
réalisée en 1886). (domaine
public) |
|
Le siège de Paris en
1870
|
|
Peinture allégorique dite de
style pompier. Exhaltation du sacrifice pour
la patrie. Abandon des corps sous un ciel chargé
de nuées et qui gisent auprès de palmes,
symboles de gloire. Un canon est pointé sur
l'ennemi et ses servants sont déterminés à faire
mouche. Des Gardes Nationaux se préparent au
combat. Le drapeau flotte au milieu des hommes et
annonce déjà la chute de l'Empire et l'avènement
de la République. (Oeuvre de Jean-Louis-Ernest MEISSONIER
réalisée en 1884). Musée d'Orsay. (domaine
public) |
|
Naissance du Second Empire
germanique - 18 janvier 1871
Reichsgründung
|
|
La
cérémonie se déroule dans la Galerie des
Glaces au Château de Versailles en présence de
l'Emperuer Guillaume 1er, (Oeuvre de Anton von WERNER -1843-1915).
(domaine
public) |
|
L'Empire allemand de 1871 à
1918
|
|
L'Empire allemand après
la guerre de 1870-1871. (documentation
libre
GNU). |
Haut de
page
.
.
| | |
©
Alain, Dominique et François Bertram, tous droits
réservés
|
